De la trace à l’empreinte puis à la donnée, probante ou non. Relativisme de l’impact de la recherche sur les pratiques enseignantes
DOI :
https://doi.org/10.26034/vd.fpeq.2019.274Mots-clés :
trace, empreinte, données probantes, usages différenciés en recherche ou formation, fondements épistémologiques des usagesRésumé
Dans cet article, nous faisons d’abord l’analyse de la trace et de sa transformation progressive en donnée, probante ou non, en tant qu’effet de succession dans un processus métaphorique. Afin d’illustrer l’éloignement progressif de la trace considérée en tant qu’empreinte ou indice d’un phénomène dans un contexte d’usage typique en sciences de l’éducation, nous contextualisons les recours à la vidéoscopie réalisée en situation de classe selon que la finalité en soit la formation ou la recherche sur les pratiques enseignantes. Nous terminons notre propos par une analyse de l’impact de la disponibilité pléthorique de traces ou de données primaires qui résulte de l’évolution technologique sur les profils d’utilisation contreproductive qui peut en résulterTéléchargements
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© François Larose, Joyce-Anne Ottereyes 2019

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