Les biographies langagières comme traces pour se dire en langues. Quelle pertinence pour le français de scolarisation ?

Auteurs-es

  • Carole-Anne Deschoux

DOI :

https://doi.org/10.26034/vd.fpeq.2019.272

Mots-clés :

biographie langagière, didactique du français, approches plurielles, positionnement historicoculturel

Résumé

L’article reprend un dispositif de formation impliquant de futur.e.s enseignant.e.s dans le cadre d’une Haute École pédagogique. Il vise à identifier le statut de traces appelées les « biographies langagières » ainsi qu’à préciser leurs potentialités et leurs limites didactiques dans le cadre du français langue de scolarisation. Ce « genre social » en classe est discuté en regard de processus individuel et/ou collectif matérialisés par un dispositif de recherche. La pertinence des biographies langagières se discute en regard de trois dimensions soit : 1) le français comme discipline, 2) comme outils pour construire des savoirs, 3) comme moyen pour travailler la dimension expérientielle et le rapport aux langues. Les résultats confortent l’importance du genre textuel et notamment de la situation de communication. Ils pointent des limites à l’usage de ce genre en classe. L’article propose également des pistes de travail dans le cadre du français langue de scolarisation s’inscrivant dans une perspective d’enseignement-apprentissage des langues

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Publié-e

01.01.2019

Comment citer

Deschoux, C.-A. (2019). Les biographies langagières comme traces pour se dire en langues. Quelle pertinence pour le français de scolarisation ?. Formation Et Pratiques d’enseignement En Question, (hors-serie 3), 101–111. https://doi.org/10.26034/vd.fpeq.2019.272