Geste, preuve ou trace ? Ecritures et rapport au savoir en formation initiale d’enseignants

Auteurs-es

  • Anne Clerc-Georgy
  • Katja Vanini de Carlo

DOI :

https://doi.org/10.26034/vd.fpeq.2014.159

Mots-clés :

écrire, fonction de l’écriture, formation des enseignants, rapport à l’écriture

Résumé

Cette contribution traite du rapport à l’écriture des futurs enseignants des degrés préscolaires et primaires à propos de l’écriture à la fin de leur formation. Elle présente l’analyse d’un questionnaire à propos de ce que ces étudiants disent de l’écriture, de leur rapport à l’écriture et de son évolution durant la formation. Le croisement entre une analyse du contenu et une analyse du discours a permis de montrer que pour de nombreux étudiants, qui qualifient leur rapport à l’écriture de bon, écrire signifie tracer de belles lettre, garder des traces, préparer des cours ou décharger ses émotions. Beaucoup plus rarement, les étudiants semblent avoir construit la conception de l’écriture comme outil de pensée et ces derniers sont ceux qui estiment avoir un rapport fluctuant à l’écriture.

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Publié-e

01.01.2014

Comment citer

Clerc-Georgy, A., & Vanini de Carlo, K. (2014). Geste, preuve ou trace ? Ecritures et rapport au savoir en formation initiale d’enseignants. Formation Et Pratiques d’enseignement En Question, (17), 215–231. https://doi.org/10.26034/vd.fpeq.2014.159